Le Quotidien de l'Art

« Une raréfaction des belles pièces, qui font des prix importants »

Directeur de la Galerie Gilgamesh à Paris, Daniel Lebeurrier est spécialiste des objets préhistoriques. Il présente et analyse ce marché.

A. C. Quel est le champ couvert par l'appellation « préhistorique » ?

D. L. Cela recouvre ce que l'on entend par « avant l'Histoire », donc théoriquement du Paléolithique supérieur à l'Âge du bronze, soit environ de - 400 000 à - 700 avant J.-C. Les collectionneurs englobent généralement aussi la Protohistoire [Âges du cuivre, du bronze et du fer]. Géographiquement, ce domaine concerne en théorie le bassin méditerranéen, le territoire situé de l'Angleterre à l'Indus, et un peu l'Afrique noire.

A. C. De quel type de pièces s'agit-il le plus fréquemment ?

D. L. Ce que l'on trouve le plus est de l'outillage lithique, en pierre. Il peut aussi être en os. À partir du Néolithique, on trouve des figures animales ou humaines…

« Une raréfaction des belles pièces, qui font des prix importants »
« Une raréfaction des belles pièces, qui font des prix importants »

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Article issu de l'édition N°650