Le Quotidien de l'Art

Rencontres d'Arles, une programmation en dents de scie

Il y a toujours dans les festivals des expositions très attendues qui finalement déçoivent et des accrochages a priori sans enjeux majeurs qui tirent leurs marrons du feu. La dernière édition des Rencontres d'Arles pilotée par François Hébel n'échappe pas à la règle. Vik Muniz et David Bailey constituaient des têtes d'affiches prometteuses. On ressort de leurs expositions l'oeil mauvais. Vik Muniz reste un virtuose du trompe-l'oeil mais sa virtuosité tourne à vide désormais. En recomposant des cartes postales nouvelles à partir de fragments d'anciennes, le serpent se mord sérieusement la queue et l'incontournable discours sur les images vidées de leur signification à force d'avoir été reproduites tient aujourd'hui du…

Rencontres d'Arles, une programmation en dents de scie
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Article issu de l'édition N°642