Conséquence directe de la suspension des cotisations des États-Unis et d'Israël le 31 octobre 2011, Irina Bokova a présenté les principaux axes de la réforme de la structure, l'amenant à raboter de 150 millions de dollars (110 millions d'euros) le budget prévu pour les deux années à venir. Le budget d'investissement s'élève à 507 millions de dollars (373 millions d'euros). Cette coupe budgétaire entraînera la réduction de 20 % des activités de l'Unesco et un vaste plan de redéploiement des postes, marqué par la suppression de 111 emplois.