L'attirance de Liliane Bettencourt pour l'excellence du savoir-faire français et de feu son mari, André Bettencourt, pour les vieilles pierres a conduit leur fondation à soutenir, dans le domaine culturel, les métiers d'art et, de manière moins marquée aujourd'hui, le patrimoine et le chant choral. « La fondation a été précurseur en soulignant, dès 1999, l'utilité et la noblesse des métiers d'art. Depuis deux ans, tout le monde s'intéresse, enfin, à eux. On voit comment les grandes marques se sont tournées vers eux. Nous considérons donc que, par notre action, nous avons aidé à remettre le sujet au centre de la société. Nous avons joué notre rôle et aujourd'hui de nombreuses structures prennent le relais », s'enchante Armand de Boissière, secrétaire général…