C'est une rencontre aussi inattendue que bienvenue que propose la galerie Imane Farès, à Paris, entre le jeune artiste marocain Mohssin Harraki et le vieux routier de l'art conceptuel, Joseph Kosuth. Chaque mur a été séparé en deux, la partie supérieure étant occupée par le plus jeune, et celle inférieure par le vétéran. Le premier travaille sur la question de la généalogie, qu'elle soit réelle ou fictive. Sur des toiles de jute pendant telles des…