La foire d’art contemporain africain 1-54, à Londres, a connu une 12e édition difficile, du 10 au 13 octobre. Dans un contexte de crise mondiale, et peut-être de lassitude face à des propositions artistiques qui se renouvellent peu, une large majorité de galeries a trop peu vendu pour rentrer dans ses frais, sauf à concrétiser des discussions par la suite. « En même temps, comme les collectionneurs ne vont plus dans les galeries,…