Le Quotidien de l'Art

1-54, entre crise et essoufflement

1-54, entre crise et essoufflement
Amina Agueznay, "Sans titre",2024, laine naturelle teintée au henné, fil de coton et structure métallique, 120 x 100 cm chacun.Loft Art gallery (Casablanca, Marrakech).Vendus 12 800 euros chaque.
© Photo Armelle Malvoisin.

La foire d’art contemporain africain 1-54, à Londres, a connu une 12e édition difficile, du 10 au 13 octobre. Dans un contexte de crise mondiale, et peut-être de lassitude face à des propositions artistiques qui se renouvellent peu, une large majorité de galeries a trop peu vendu pour rentrer dans ses frais, sauf à concrétiser des discussions par la suite. « En même temps, comme les collectionneurs ne vont plus dans les galeries,…

1-54, entre crise et essoufflement
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Article issu de l'édition N°2913