Quatre petits numéros les séparent et c’est « tant mieux qu’il n’y ait pas d’accès direct de l’une à l’autre », estime le galeriste Hervé Loevenbruck, « car nous proposons deux expériences tout à fait différentes. » D’un côté, au 12, rue Jacques-Callot, la galerie « historique » de 2010, avec ses matériaux d’avant-garde – sols en inox et vitrine en verre sérigraphié. De l’autre, la nouvelle venue, au 6…