Le 6 mars, la salle de vente parisienne de Christie’s a accueilli plus de 300 personnes pour un événement exceptionnel : une sélection de 100 œuvres majeures d’Afrique et d’Océanie de la mythique collection Barbier-Mueller. Estimé 25 millions d’euros au bas mot, l’ensemble est monté jusqu’à 73 millions d’euros, au-delà du record de 66 millions pour la collection Michel Périnet, dispersée en 2021, toujours à Paris chez Christie’s. Nonobstant deux invendus qui n’ont pas atteint leur prix de réserve (actuellement en cours de négociations en after sale), durant plus de 4 heures et demi, des acheteurs de 25 nationalités différentes se sont battus pour acquérir ces pièces, sous le marteau de Cécile Verdier, présidente de Christie’s France, puis d’Adrien Meyer, vice-président international du département art impressionniste et moderne, qui lui a succédé à mi-parcours.
Plus de la moitié des lots partent aux États-Unis
« Un catalogue conçu comme un livre…