Placé au centre d’une grande toile faussement décrépie, nervurée de lignes tracées à la craie rose tendre, un orifice non identifié, peint à l’acrylique sur une seconde petite toile, nous apparaît familier et autre à la fois. Ces entrailles nous sont-elles tendues comme un miroir de notre intériorité organique, ou nous engagent-elles au contraire vers un monde radicalement différent du nôtre, un total inconnu ? Siphon ou sphincter, bouche d’égout ou robinet :…
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