Le diable est dans les détails. Le procès qui touche à sa fin à New York, opposant Dimitri Rybolovlev à Sotheby’s, s’est confronté à l’analyse minutieuse de chaque terme des échanges d’emails. La semaine passée, l’événement tenait dans le témoignage de Sam Valette, chargé des ventes privées chez Sotheby’s, qui a fourni à Yves Bouvier une bonne partie des œuvres d’art que celui-ci a revendues pour le double au collectionneur russe, parfois dans la même journée. Comme il passait son temps à faire la réclame des œuvres, Sam Valette a dû justifier la confusion des genres de sa mission, partagée entre…