Adopté à l’unanimité le 18 décembre par le Sénat et l’Assemblée nationale, la loi-cadre prévoyant les conditions de restitution des restes humains détenus dans les collections publiques françaises aura nécessité 20 ans de réflexion, parfois d’échecs. La voie était ouverte en 2002 par la restitution de la « Vénus hottentote » à l’Afrique du Sud, puis en 2010 par celle des têtes maories à la…