Sur un carrelage rose pastel, des créatures hybrides, mi-animaux mi-humains, sont prisonnières de leur danse éperdue. Faites de bronze, elles semblent aspirer à la légèreté d’un autre monde impénétrable. Ce monde, qui s'apparente à une réalité parallèle aux accents de paradis inquiétant, se matérialise par une grande forêt bleue peuplée d’humains et d’un coq. L’Émiratie Maitha Abdalla (née en 1989) a longtemps entendu sa grand-mère lui…
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