Une chose est sûre : il s'agit de la première fois que des archéologues mettent au jour sur un même site deux ateliers de momification dédiés d'un côté aux humains et de l'autre aux animaux. Chacun comporte plusieurs pièces avec des banquettes en pierre de deux mètres de long recouvertes de plâtre pour préparer les corps – le plateau est marqué de rigoles autour –, des vases canopes contenant les viscères de défunts (humains aussi bien qu'animaux), des instruments pour la momification et des vases…