Dans le mercato de l'art, qui voit un flux continu des institutions publiques vers les opérateurs privés - démontrant la vitalité de ces derniers - après Emma Lavigne (du Palais de Tokyo à la Collection Pinault), Chris Dercon (de la RMN à la Fondation Cartier) ou Sylvie Patry (du musée d'Orsay à la galerie kamel mennour), c'est au tour de Romane Sarfati de franchir cette frontière poreuse. Elle n'y a d'ailleurs jamais vu d'interdit, étant aussi bien diplômée de Sciences Po que de l'ESCP, ayant été conseillère d'Aurélie Filippetti au ministère ou fondatrice d'un concept store…