De son enfance, l’architecte Arata Isozaki, né en 1931 à Oita au Sud du Japon et décédé le 29 décembre dernier, se souvenait d’abord de la guerre, de la bombe d’Hiroshima, des destructions et de la tabula rasa qui en avait résulté. Enfant du chaos, destiné à reconstruire un pays en partie éradiqué, il se tourna, jeune diplômé, vers le métabolisme, courant puissant dont l’inspiration…