Le Quotidien de l'Art

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Vue de l'exposition « Jardins » de Alexandre Benjamin Navet à la galerie Derouillon.
Vue de l'exposition « Jardins » de Alexandre Benjamin Navet à la galerie Derouillon.



© Photo Grégory Copitet/Courtesy de l’artiste et Galerie Derouillon, Paris.

Frédéric Bruly Bouabré,"Tagro Dréhounou",2010,
série de 213 dessins, crayon de couleur et stylo bille sur papier cartonné.
Frédéric Bruly Bouabré,"Tagro Dréhounou",2010,
série de 213 dessins, crayon de couleur et stylo bille sur papier cartonné.


© Photo Grégory Copitet.

Frédéric Bruly Bouabré, "Chaussures engendrées par une civilisation métissée : Rencontre Afrique et Europe", 1993, crayon et stylo sur papier cartonné, 11,5 x 16,5 cm.
Frédéric Bruly Bouabré, "Chaussures engendrées par une civilisation métissée : Rencontre Afrique et Europe", 1993, crayon et stylo sur papier cartonné, 11,5 x 16,5 cm.
© Studio Louis Delbaere
Frédéric Bruly Bouabré, "Never seen before", 1991, crayon et stylo sur papier cartonné, 15 x 10,5 cm.
Frédéric Bruly Bouabré, "Never seen before", 1991, crayon et stylo sur papier cartonné, 15 x 10,5 cm.
© Studio Louis Delbaere
Vue de l'exposition "Bruno Albizzati (1988-2021)", galerie La Forest Divonne.
Vue de l'exposition "Bruno Albizzati (1988-2021)", galerie La Forest Divonne.
© Courtesy Galerie La Forest Divonne.
Bruno Albizzati, "Sans titre", 2020, aérosol sur papier froissé marouflé, 123 x 90 cm.
Bruno Albizzati, "Sans titre", 2020, aérosol sur papier froissé marouflé, 123 x 90 cm.
© Photo Maxime Bessières/Courtesy Galerie La Forest Divonne.
Bruno Albizzati, "Sans titre", 2020, aérosol sur papier froissé, 200 x 200 cm.
Bruno Albizzati, "Sans titre", 2020, aérosol sur papier froissé, 200 x 200 cm.
© Photo Maxime Bessières/Courtesy Galerie La Forest Divonne.

Beaucoup de couleur avant l'été dans ces trois expositions parisiennes - sur papier, toile ou céramique.

Alexandre Benjamin Navet

Galerie Derouillon

Plongeon dans la couleur

En faisant appel à sa caractéristique palette de teintes éclatantes, habilement appliquée en grands aplats aux pastels à l'huile, Alexandre Benjamin Navet se penche cette fois-ci sur les jardins à la française, du Palais-Royal au jardin du Luxembourg, en passant par les Tuileries, dont on reconnaît instantanément les assises iconiques. « J'aime le jeu qui se crée entre moi et la couleur : c'est elle qui va dicter une règle », nous confie l'artiste. En investissant pour la première fois de très grands formats (2 x 6 mètres pour son triptyque monumental, spécialement pensé pour la galerie et affiché à 70 000 euros), l'artiste et designer français questionne aussi le rapport du visiteur à l'espace et à l'échelle, comme il l'a déjà fait pour son installation urbanistique sur la Cinquième Avenue de New York ou, actuellement, dans le cadre du Voyage à Nantes. Parmi la dizaine de peintures sur toile et…

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Article issu de l'édition N°2435