Le Quotidien de l'Art

Phoenix Ancient Art, l’enseigne controversée au cœur du commerce d’antiquités

Phoenix Ancient Art, l’enseigne controversée au cœur du commerce d’antiquités
Façade de Phoenix Ancient Art à Bruxelles.
DR.

Les frères libano-suisses Ali et Hicham Aboutaam sont ce qu’il convient d’appeler de « vieilles connaissances ». Leur galerie, Phoenix Ancient Art (installée à Genève et New York) se présente sur son site comme le « leader mondial du commerce d’antiquités rares », aux petits oignons pour les clients fortunés amateurs de pièces uniques, et où l’on parle neuf langues (y compris le russe et le suédois) pour mieux les servir. De fait, le duo a longtemps été présenté comme « un des plus puissants marchands de la planète de arts », comme l’écrivait le quotidien genevois Le Temps en 2017 après qu’Ali Aboutaam avait accepté de se confesser longuement, à la suite d’une énième affaire qui aurait pu ruiner la réputation de l’enseigne, mais l’a à peine égratignée. 

Il faut dire que les deux hommes, qui plaident systématiquement l’abus de leur bonne foi, font régulièrement clignoter les lumières rouges du bureau…

Phoenix Ancient Art, l’enseigne controversée au cœur du commerce d’antiquités
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Article issu de l'édition N°2428