Ambiance de retrouvailles pour l’ouverture des Rencontres d’Arles après une année quasiment blanche. Mais une fois n’est pas coutume, la pluie était au rendez-vous de la matinée d’inauguration, dimanche dernier, jour de la visite de Roselyne Bachelot. De toute manière, « cette édition 2021 est placée sous le signe de la prudence », explique Aurélie de Lanlay, directrice adjointe. Elle a été adaptée et réduite, eu égard aux contraintes sanitaires. Certains lieux, trop exigus, ont été supprimés et les expositions en extérieur sont plus nombreuses. Celle de Stephan Gladieu et ses portraits de Coréens du Nord présentés en contrebas du Théâtre antique vaut le détour car ses grands formats placent le spectateur dans la position du photographe.
La part belle aux femmes
Pour cette première édition en tant que directeur, Christoph Wiesner, nommé l’an dernier (voir QDA du 29…