Le Quotidien de l'Art

Nouvelle Samaritaine : patrimoine, street art et Perrotin

Nouvelle Samaritaine : patrimoine, street art et Perrotin
Eléonore de Boysson.
Lvmh.

Hier, 23 juin, après 16 ans de fermeture, la Samaritaine a rouvert ses portes. Pour se distinguer de la concurrence, elle a mis en avant ses liens avec le monde de l’art. Au menu : patrimoine historique superbement restauré, programmation culturelle, visites guidées et galerie Perrotin en sous-sol. 

Elle était attendue, la voici enfin. Après seize ans de fermeture, dont trois ans de recours juridiques, cinq ans de travaux et un an d'attente lié au Covid, la Samaritaine, propriété de LVMH, a fini par rouvrir ses portes, sur 20 000 m2. Mais comment faire la différence alors que la concurrence est rude et que l’e-commerce vient grignoter des parts de marché ? Éléonore de Boysson, présidente Europe et Moyen-Orient de DFS, qui exploite le magasin, a la réponse. « Nous voulons proposer une expérience différente. Nous souhaitons que les gens passent du temps dans nos espaces pour se promener, pas seulement pour acheter. » Du moins pour le moment…

Le joker du patrimoine

Pour ce faire, l’une des cartes jouées par le grand magasin est celle des arts. D’abord, il s’agit de s’appuyer sur son fabuleux patrimoine architectural : un bâtiment Art nouveau signé Frantz Jourdain, datant de 1910 et un édifice Art déco ajouté par Henri Sauvage en 1928. L’ensemble a été minutieusement rénové, des 675 mètres de laves émaillées de la…

Nouvelle Samaritaine : patrimoine, street art et Perrotin
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Article issu de l'édition N°2197