Le sculpteur Alain Kirili est mort le 19 mai à New York, à 74 ans, des suites d’une leucémie. « Je suis un calligraphe dans l’espace », disait-il. Pour lui, l’art exigeant la dépense pulsionnelle la plus importante était en effet la calligraphie, toute en gestes rapides, sans corrections, affranchis de la figuration, qu’il étudie à Paris dès 1966 avec le peintre coréen Ungno Lee. Quand on…