« Les collections nîmoises n'ont pas l'écrin qu'elles devraient avoir », estime Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, lors de la présentation au salon parisien du Simesitem le 29 janvier, du projet de son futur musée de la Romanité. La découverte en 2007 d'une mosaïque romaine, dite de Penthée, lors de travaux sur l'avenue Jean-Jaurès a donné un coup d'accélérateur au projet. Après un concours international en 2011 dont le projet architectural d'Elizabeth et Christian de Portzamparc est sorti lauréat, la première pierre devrait être posée à l'automne.
Le défi est de taille : installé sur l'îlot Grill, face aux arènes, le futur édifice doit dialoguer avec les vestiges antiques. « J'ai très vite abandonné l'idée de la disparition, qui voudrait dire qu'on n'est pas capable de faire un édifice contemporain à la mesure de l'antiquité. Le mimétisme est aussi apparu comme une erreur.
« Les collections nîmoises n'ont pas l'écrin qu'elles devraient avoir », estime Jean-Paul Fournier, sénateur-maire de Nîmes, lors de la présentation au salon parisien du Simesitem le 29 janvier, du projet de son futur musée de la Romanité. La découverte en 2007 d'une mosaïque romaine, dite de Penthée, lors de travaux sur l'avenue Jean-Jaurès a donné un coup d'accélérateur au projet. Après un concours international en 2011 dont le projet architectural d'Elizabeth et Christian de Portzamparc est sorti lauréat, la première pierre devrait être posée à l'automne.
Le défi est de taille : installé sur l'îlot Grill, face aux arènes, le futur édifice doit dialoguer avec les vestiges antiques. « J'ai très vite abandonné l'idée de la disparition, qui voudrait dire qu'on n'est…