« À qui incombe la charge ? La responsabilité partagée du patrimoine culturel, une propriété revisitée », « Archives d'architectes en France, 1968-1998. Jeux d'acteurs et enjeux historiographiques autour de l'Institut français d'architecture », « Artistes mais femmes. Formation, carrière et réputation dans l’art contemporain » : ces trois thèses ont été respectivement menées par Marie-Sophie de Clippele (ENS Paris-Saclay), Nina Mansion Prud’homme (Université Bordeaux Montaigne) et Mathilde Provansal (Université Paris 1), lauréates des prix de thèse Valois, qui reçoivent chacune 8 000 euros. Créé en 2017 par le ministère de la Culture (situé rue de Valois, d'où l'appellation), le prix récompense annuellement trois thèses de doctorat pour leur qualité et leur originalité, encourageant ainsi les jeunes chercheuses et chercheurs à partager leurs travaux en rapport avec les politiques culturelles publiques. Le jury était présidé par Maryvonne de Saint Pulgent, directrice du Comité d’histoire, et constitué de six personnalités travaillant dans le champ des politiques culturelles, que ce soit le patrimoine, l'histoire contemporaine, l'économie, la littérature française, la sociologie ou le droit.
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