Le Quotidien de l'Art

La MAIF fait le grand bond numérique

La MAIF fait le grand bond numérique
Goliath Dyèvre et Grégory Chatonsky, "INTERNES", 2020, projet pour le Prix MAIF pour la sculpture.
Goliath Dyèvre et Grégory Chatonsky, 2020

Après 12 ans, la MAIF modernise son Prix pour la sculpture en misant sur les nouvelles technologies. Au plus près des candidatures reçues, l’assureur accompagne désormais un jeune talent qui enrichit sa pratique sculpturale avec des procédés numériques. À mi-chemin entre réalité et fiction, présentation du premier lauréat, couronné vendredi : le duo Grégory Chatonsky et Goliath Dyèvre.

Une sculpture ne se définit-elle que par sa matérialité ? Non, répond sans ambages la MAIF, qui décide en cette année exceptionnelle à tant d’égards de conjuguer dans une logique – qui confine à l’oxymore ! – pratique sculpturale et compétences numériques. Rompue aux solennelles techniques liées au bronze, la compagnie d’assurance fait prendre à son Prix pour la sculpture un virage détonnant. Les valeurs éducatives et de transmission d’une mutuelle fondée par des instituteurs se trouvaient défiées par l’évolution récente de la création contemporaine. Bien qu’historiquement proche des métiers de…

La MAIF fait le grand bond numérique
La MAIF fait le grand bond numérique

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

Vous pouvez aussi profiter d'un accès gratuit de 30 jours.
En savoir plus

À lire aussi


Liselor Perez, lauréate du prix Rubis Mécénat 2025
Article abonné

Édition N°3017 / 27 mars 2025

28

Les expositions labellisées d'intérêt national en 2025

Par Jade Pillaudin


Sarah Sze, lauréate du Meraki Artist Award
Article abonné

Article issu de l'édition N°1980