« Être restaurateur ou restauratrice de biens culturels est une profession assez précaire : tout le monde n'a pas la trésorerie suffisante pour rester longtemps en confinement », s'inquiète Rafaelle Rosini, restauratrice spécialisée dans la peinture depuis 2013. Dépendantes des appels d'offres des collectivités, des institutions ou des besoins de particuliers, les conditions de travail du métier sont d'ailleurs instables même sans une crise sanitaire. Ainsi, la pandémie de coronavirus ne fait qu'ajouter une difficulté de plus aux…