Le Quotidien de l'Art

Le marché de l'art américain : un système gagnant-gagnant

Le marché de l'art américain : un système gagnant-gagnant
Edward & Nancy Kienholz, The Caddy Court, 1986-1987.
Courtesy estate of Nancy Reddin Kienholz & L.A. Louver

Au moment où l'Armory Show s'apprête à ouvrir ses portes à New York (du 5 au 8 mars), le plus grand marché de l'art au monde met en avant ses atouts les plus évidents : sa taille et sa force. Avec 183 galeries exposant sur les deux piers (jetées) du port et plus d’une douzaine de foires satellites ouvertes simultanément, parler de taille n’est pas un vain mot. Ajoutez à cette équation l'exceptionnelle exposition du Whitney Museum, "Vida Americana: Mexican Muralists Remake American Art 1925-1945" – une occasion rare de voir à New York autant d’œuvres de ces artistes pionniers –, et on peut parler d'effet de masse. Outre les 125 galeries qui retournent sur les jetées, les organisateurs de l'Armory promettent d'alléger la longue marche sur les berges de l’Hudson en saluant Austin Lee, l'artiste pop de l'aérographe, chez Jeffrey Deitch. Alléger est le mot. Austin Lee, qui porte avec fierté son statut de Warhol light, promet un volet interactif. Portraitiste, il a réuni une collection de visages…

Le marché de l'art américain : un système gagnant-gagnant
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