Le Quotidien de l'Art

VU EN GALERIE

Paul Pfeiffer, "Goethe's Message to the New Negroes #1", 2001, boucle vidéo de 3mn6secs sur mini-écran LCD monté sur structure de métal de 160 cm. Édition 2/6.
Paul Pfeiffer, "Goethe's Message to the New Negroes #1", 2001, boucle vidéo de 3mn6secs sur mini-écran LCD monté sur structure de métal de 160 cm. Édition 2/6.
Galerie Poggi.
Luc Bellier et Jérôme Poggi, devant une œuvre de Kori Newkirk.
Luc Bellier et Jérôme Poggi, devant une œuvre de Kori Newkirk.
Courtesy Santiago Swan.
Özgür Kar, "it is all in his head", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports de téléviseur, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon, 196 x 192 x 70 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Özgür Kar, "it is all in his head", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports de téléviseur, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon, 196 x 192 x 70 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Photo Alison Moss.
Özgür Kar, "a guy under the influence", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports muraux, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon,
96 x 336 x 4 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Özgür Kar, "a guy under the influence", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports muraux, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon,
96 x 336 x 4 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Photo Alison Moss.
Myriam Mihindou, "Che-va-lè", Paris 2017-2020,
chevalet en bois, sculpture en coton, chanvre, fleurs de coton, blanc de titane, colle, bleu de l’éthylène, plumes, fils de soie, étymologies, 94 x 43 x 35 cm.
Myriam Mihindou, "Che-va-lè", Paris 2017-2020,
chevalet en bois, sculpture en coton, chanvre, fleurs de coton, blanc de titane, colle, bleu de l’éthylène, plumes, fils de soie, étymologies, 94 x 43 x 35 cm.
Photo Armelle Malvoisin.
Myriam Mihindou présentant sa série "Fleurs de Peau" (1999-2019),
sculptures en savon de Marseille, greffes, aiguilles, chanvre, cire, coton, latex, kaolin, dimensions variables.
Myriam Mihindou présentant sa série "Fleurs de Peau" (1999-2019),
sculptures en savon de Marseille, greffes, aiguilles, chanvre, cire, coton, latex, kaolin, dimensions variables.
Photo Armelle Malvoisin.
Myriam Mihindou, "Vivace", sculpture de la série "Fleurs de Peau", 2019, cire, chanvre, savons de Marseille,
145 x 14 x 2 cm.
Myriam Mihindou, "Vivace", sculpture de la série "Fleurs de Peau", 2019, cire, chanvre, savons de Marseille,
145 x 14 x 2 cm.
Photo Armelle Malvoisin.
Adam Adach , "Fiesta de la fin de l'Inquisition", 2019, huile sur
toile, 130 x 130 cm.
Adam Adach , "Fiesta de la fin de l'Inquisition", 2019, huile sur
toile, 130 x 130 cm.
Courtesy Galerie Jean Brolly.
Adam Adach, "Elisabeth Moss at the gala du procès des sorcières",
2019, huile sur toile, 160 x 180 cm.
Adam Adach, "Elisabeth Moss at the gala du procès des sorcières",
2019, huile sur toile, 160 x 180 cm.
Courtesy Galerie Jean Brolly.
Adam Adach, , "Tweet de William Turner about destruction of Sodoma & Gafa", 2019, huile sur toile, 140 x 170 cm.
Adam Adach, , "Tweet de William Turner about destruction of Sodoma & Gafa", 2019, huile sur toile, 140 x 170 cm.
Courtesy Galerie Jean Brolly.
Vue de l'exposition « Autodafé » Galerie Jean Brolly.
Vue de l'exposition « Autodafé » Galerie Jean Brolly.
Photo Pauline Chevallereau.
Özgür Kar, "a guy under the influence", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports muraux, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon,
96 x 336 x 4 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Özgür Kar, "a guy under the influence", 2020, deux vidéos 4K avec son, boucle de 35 minutes, deux téléviseurs de 75 pouces, supports muraux, lecteurs multimédias, enrouleur de cordon,
96 x 336 x 4 cm. Édition de 3 + 1 AP.
Courtesy Galerie Édouard Montassut.

Le monde à venir fait peur, l'ancien nous semble dépassé. Les artistes peuvent-ils nous aider dans notre très contemporaine perte de repères ?

Exposition collective

Galerie Jérôme Poggi

Ministère de la peur

Descendant d’une lignée de commissaires-priseurs et marchands, Luc Bellier a à son actif le courtage de quelques toiles majeures, comme le seul Munch de l’Art Institute de Chicago, le Christ jaune d’Orsay ou le Magritte du Louvre Abu Dhabi. Il a aussi constitué une collection personnelle qui explore les expressions et variantes de la peur, une émotion profondément humaine. « Je ne suis que mon intuition, pas le marché », dit-il, et cela lui a permis des acquisitions qui orchestrent un dialogue original entre les époques. De la classique vanité napolitaine du XVIIe siècle à une vidéo hypnotique de Paul Pfeiffer – des stars du basket jouant une fuite sans fin grâce à un admirable fondu enchaîné (55 000 euros) – on passe aussi par un dessin de Grosz (à plus de 200 000 euros, déjà vendu à un collectionneur français), une image du Ku Klux Klan d’Andres Serrano ou un préparatif de lynchage par l’hyperréaliste Vincent Desiderio. Derrière l’histoire de l’art, c’est aussi une histoire de retrouvailles : Luc Bellier avait…

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Article issu de l'édition N°1891