Le Quotidien de l'Art

Vu en galerie - Spécial Barcelone

Claudia Mate.
Claudia Mate.
Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.
Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.


Photo Alison Moss.

Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.
Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.


Photo Alison Moss.

Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Photo Alison Moss.
Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Photo Alison Moss.
Lorna Mills, "Jezebelle Delight".
Lorna Mills, "Jezebelle Delight".
Photo Alison Moss.
Alex Nogueras, directeur de la galerie NoguerasBlanchard, pose devant un des montages photographiques d’Alfredo Rodriguez.
Alex Nogueras, directeur de la galerie NoguerasBlanchard, pose devant un des montages photographiques d’Alfredo Rodriguez.


Photo Alison Moss.

Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.
Vue de l’exposition « Entre lo humano y lo sublime » de Gonzalo Sicre, le soir du vernissage à la Sala Parés.


Photo Alison Moss.

Joan Antón Maragall, directeur de la Sala Parés, pose dans l’espace de stockage de la galerie.
Joan Antón Maragall, directeur de la Sala Parés, pose dans l’espace de stockage de la galerie.
Photo Alison Moss.
Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Dilalica, « Dígitos y Atomos ».
Dilalica.
Juliana Cerqueira Leite et Alfredo Rodríguez. NoguerasBlanchard.
Juliana Cerqueira Leite et Alfredo Rodríguez. NoguerasBlanchard.
Photo Roberto Ruiz/ Arquitectura de Goig Arquitectes.
Lorna Mills, "Petting Zoo : Demons Begone", 2019, installation de gifs animés, 5 canaux.
Lorna Mills, "Petting Zoo : Demons Begone", 2019, installation de gifs animés, 5 canaux.


Photo Alison Moss.

Quelques jours après la sentence du Tribunal suprême, la capitale catalane célébrait la 5e édition de son Gallery Weekend, témoignant de la transformation que connaît depuis quelques années son tissu urbain et culturel. Vague de calme avant la tempête...

Gonzalo Sicre, Pere Gastó, Magí Puig

Retour aux sources

Allier le classique et le contemporain : c'est le secret de la longévité de la Sala Parés. Fondée en 1877, cette galerie mythique de Barcelone est la plus ancienne du pays. Son directeur, Joan Anton Maragall (petit-fils du poète du même nom, qui fut l’un des chefs de file du modernisme catalan) assure depuis trente ans sa programmation, axée sur la peinture figurative espagnole. Il en a garanti la survie pendant la crise économique en s'adaptant au nouveau tissu de collectionneurs : « Du temps de mon père, Barcelone accueillait une trentaine de collectionneurs importants. On peut désormais les compter sur les doigts d’une main. Mais le marché est plus démocratique : ce sont à présent de moyens et petits collectionneurs qui achètent des pièces à prix plus modestes. Plus d’un tiers de ce que nous vendons part à l'étranger », explique-t-il. L'étage supérieur est consacré aux portraits du peintre catalan Pere Gastó…

Vu en galerie - Spécial Barcelone
Vu en galerie - Spécial Barcelone

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Article issu de l'édition N°1821