Le Quotidien de l'Art

Biennale Paris : la relève en 12 noms

Biennale Paris : la relève en 12 noms
Victor Brauner, "Déconcertée par analogie", 1933, dessin au crayon sur papier, 24,8 x 23 cm. Galerie Schifferli.
Courtesy Galerie Schifferli.

Parmi les innovations de cette année, à côté de la présence de Drouot, du Bahreïn ou d'Art Loss Register, la Biennale Paris, qui ouvre vendredi au public, met en lumière des professionnels de moins de 10 ans d’existence.

Parce que la profession d’antiquaire a beaucoup changé en cinquante ans, que les spécialités et les goûts évoluent et que les acheteurs poussent moins la porte des galeries, leur préférant foires et salons, il est essentiel pour les jeunes marchands d’accéder aux événements internationaux, telle la Biennale Paris. C’est le constat qui sous-tend la création d’une section « Nouveaux Talents » dans l’édition 2019. Douze élus occupent chacun un stand de 10 m2 à prix préférentiel, dans un espace dédié sous la nef du Grand Palais. L’idée n’est pas nouvelle : à la TEFAF Maastricht, la section « Showcase », qui existe depuis 2008, fonctionne comme un incubateur à jeunes talents. Les plus brillants d’entre eux rejoignent d’ailleurs assez vite la foire dans sa section principale. 

Affaires de famille

Pour certains, l’art est une affaire de famille, à l’instar d’Amélie Sourget. À la suite de son père, fondateur de la librairie Sourget en 1983 à Ver-lès-Chartres (Eure-et-Loir), et de sa sœur Camille qui s’est aussi lancée dans le livre ancien…

Biennale Paris : la relève en 12 noms
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