Le Quotidien de l'Art

Haute curiosité

Haute curiosité
Oeil humain agrandi démontable, XIXe. Collection Pierre Spitzner, Faculté de médecine de l'Université de Montpellier.
Photo Université de Montpellier.

Ils évoquent, pour notre époque blasée, un mariage de curiosité esthétique et d’enthousiasme scientifique. Les cabinets de curiosités, qui connurent leur apogée entre le XVIe et le XVIIIe siècle, mêlaient chefs-d’œuvre humains et bizarreries de la nature (cornes de narval, perles, pierres symétriques, etc.). Cette tentative de classification et de compréhension par l’intermédiaire des aberrations et des extravagances a de quoi réenchanter notre monde trop…

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