« Il y a sept ou huit ans, les prix auraient été plus importants », regrette cependant Claude Oterelo, l’un des deux experts de cette vacation fleuve. Depuis, les gros collectionneurs ont disparu ou se sont retirés, tel Daniel Filipacchi (91 ans) qui a vendu sa bibliothèque il y a 15 ans chez Christie’s à Paris. Surtout, la crise Aristophil est passée par là. « Le marché est faussé, mais au final, les gros prix de la vente ont quelque peu compensé. Heureusement, le marché du livre est résilient. Ce n’est pas le marché du meuble. Pour cela, on a mis des estimations…
Bibliothèque Destribats : Breton en crise, les illustrés résistent
8,1 millions d’euros (contre une estimation de 5 à 7 millions), 90 % de lots vendus et 14 préemptions (pour 586 875 euros) : Christie’s peut s’enorgueillir d’un réel succès pour la 1e partie de la bibliothèque Paul Destribats, du 3 au 5 juillet à Paris.