Depuis la fermeture de la maison rouge, c’est votre première grande exposition. Dans votre ville natale, revêt-elle une dimension particulière ?
Ma collection personnelle a toujours été déconnectée de la maison rouge, même si elle en a souvent inspiré la programmation, c’est pourquoi cette exposition ne revêt pas de dimension particulière. En revanche, j’ai accepté la proposition de Guy Tosatto, le directeur du Musée de Grenoble, avec bonheur. Exposer ici est une aventure logique au regard de mes racines puisque c’est à Grenoble que j’ai commencé à collectionner.