Le Quotidien de l'Art

Église et art contemporain : un divorce à l’amiable ?

Église et art contemporain : un divorce à l’amiable ?
Pascale Marthine Tayou, Colonne Pascale, 2011, présentée dans le cadre de l'exposition "Always All Ways" à l'Église Saint-Bonaventure, Lyon.
Photo Stèphan Ramboud/Courtesy Pascale Marthine Tayou et GALLERIA CONTINUA, Les Moulins.

Depuis 1994, les délicats vitraux rayés noir et blanc de Sainte-Foy de Conques, dessinés par le peintre Pierre Soulages, sont autant un motif d’attractivité touristique que les volumes majestueux de l’abbatiale romane. En 1976 déjà, à Noirlac (Cher), l’artiste Jean-Pierre Raynaud avait lui aussi abordé avec une certaine discrétion la commande qui lui avait été passée d'habiller les fenêtres en ogive et rosaces de l’abbaye cistercienne. En France, les commandes de vitraux à des artistes contemporains (Aurélie Nemours à Notre-Dame de Salagon, Robert Morris à la cathédrale de Maguelone, à Montpellier, Pascal Convert à Saint-Gildas-des-Bois, Martial Raysse…

Église et art contemporain : un divorce à l’amiable ?
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