Quel est le bilan de vos sept ans au Palais de Tokyo?
L’une de mes préoccupations a été de créer un dialogue entre le contexte français et la scène internationale, en organisant les premières expositions d’artistes qui me paraissaient déterminants dans le débat sur l’art et le monde d’aujourd’hui. L’exposition collective « Le Bord des Mondes » était une tentative d’expansion du territoire de l’art, en invitant des figures qui ne se considèrent pas forcément comme des artistes. Cela m’intéressait de décoloniser…