Le Quotidien de l'Art

Vu en Galerie

Vue de l'exposition de Wade Guyton « Natural Wine » à la galerie Chantal Crousel.
Vue de l'exposition de Wade Guyton « Natural Wine » à la galerie Chantal Crousel.
Photo Alison Moss.
Vue de l'exposition de Wade Guyton « Natural Wine » à la galerie Chantal Crousel.
Vue de l'exposition de Wade Guyton « Natural Wine » à la galerie Chantal Crousel.
Photo Alison Moss.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place »  à la galerie Thaddaeus Ropac.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place » à la galerie Thaddaeus Ropac.
Photo Oscar Heinke.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place »  à la galerie Thaddaeus Ropac.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place » à la galerie Thaddaeus Ropac.
Photo Oscar Heinke.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place »  à la galerie Thaddaeus Ropac.
Vue de l'exposition « Wherein lies the place » à la galerie Thaddaeus Ropac.
Photo Oscar Heinke.
James Siena, "Closed Heliopolis", 2007.
James Siena, "Closed Heliopolis", 2007.
James Siena/Courtesy PACE gallery et Galerie Xippas.
Vik Muniz, "Carcere XIV, The Gothic Arch, after Piranesi Prison", 2002.
Vik Muniz, "Carcere XIV, The Gothic Arch, after Piranesi Prison", 2002.
Courtesy Galerie Xippas.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Photo Rafael Pic.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Photo Rafael Pic.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Vue de l'exposition « Daedalus’ Choice » à la galerie Xippas.
Photo Rafael Pic.

Une minimaliste qui n'en est pas une, des originaux qui sont plutôt des copies, un labyrinthe qui prend différentes formes : comment brouiller les frontières...

Rosemarie Castoro

Galerie Thaddaeus Ropac

Minimaliste sans l'être

« I am not a minimalist, I am a Maximust », proclamait Rosemarie Castoro (1939-2015). L’artiste new-yorkaise, un temps mariée à Carl Andre et qui refusait que l'on qualifie son travail de minimaliste, n’a jamais rejoint le courant. Si elle s’en inspirait, elle cherchait constamment à en transgresser les limites, en introduisant le surréalisme et la couleur dans son œuvre. Sur les quatre niveaux de la galerie du Marais sont déployées plusieurs de ses installations, sculptures et peintures de grandes dimensions. Les prix de ces dernières oscillent autour de 250 000 euros. À l’entrée de l’exposition, la sculpture Land…

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Article issu de l'édition N°1669