Le Quotidien de l'Art

En Espagne, un marché très en retard

En Espagne, un marché très en retard
A l'occasion de la foire Arco 2018, la galerie Heinrich Ehrhardt présentait des oeuvres de Secundino Hernández (au mur) et Björn Dahlem (sur socle).
Arco 2018

Le marché de l'art espagnol est minuscule et opaque, et les prix y sont globalement bas. Il représente à peine 1 % du marché mondial et 2 % de la valeur des ventes dans l'Union européenne. Le prix moyen des transactions dans les galeries et dans les maisons de ventes est de 5 270 euros, selon le dernier rapport semestriel de Clare McAndrew, économiste et directrice générale d'Arts Economics, la publication la plus rigoureuse du secteur. De fait, les acteurs du monde de l’art rechignent souvent à donner des informations : sur les 650 galeries et 50 salles de ventes contactées dans le rapport, seules 190 ont répondu au sondage. La foire ARCO, dont la prochaine édition débute le 27 février, totalise 60 % des transactions et ne publie jamais les résultats…

En Espagne, un marché très en retard
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Article issu de l'édition N°1667