Sollicité par le Quotidien de l’Art, le Centre du patrimoine mondial a précisé « n’être pas au courant » de ce projet et agir en conséquence « conformément à l’article 174 » du guide de la Convention. Celui-ci lui ouvre le droit de vérifier toute information provenant d’un tiers sur la possibilité d’un « dommage sérieux » infligé à un site du patrimoine mondial. Une pétition ouverte en janvier a réuni dans la ville 12 000
signatures pour dénoncer une « esplanade moderne et froide ». Le concept a été aussi…