Pour sa 64e édition, du 27 janvier au 4 février, la BRAFA (Brussels Antiques & Fine Arts Fair) est toujours aussi convoitée par les galeries et antiquaires européens pour son éclectisme, sa convivialité et le dynamisme de ses collectionneurs belges, attirant également nombre de Parisiens venus par le Thalys. Sur 133 galeries représentant plus de vingt spécialités, de l’archéologie à l’art contemporain, 16 exposants font leur entrée, dont le New-Yorkais Rosenberg & Co et le Parisien Brame & Lorenceau, « séduit par la qualité intrinsèque de cette foire et sa réputation » pour l’art moderne et d’après-guerre, le marchand français d’art ancien africain Charles-Wesley Hourdé ou la galerie marocaine L’Ibis pour l’archéologie égyptienne. Soit trois spécialités phares de la BRAFA, mélangées au sein de la foire, pour favoriser le cross-collecting, la façon moderne de collectionner. Invité d’honneur, le célèbre duo britannique Gilbert & George (représenté en Belgique par la galerie Albert Baronian) a choisi de présenter cinq œuvres majeures disséminées dans le parcours pour créer la surprise. Le cycle des « BRAFA Art Talks » propose des sujets aussi variés que Pieter Bruegel l’Ancien, le post-constructivisme soviétique, la collectionneuse Peggy Guggenheim ou les critères qui font d’une œuvre d’art une pièce majeure.
La BRAFA à l’enseigne de l’éclectisme
Pour sa 64e édition, du 27 janvier au 4 février, la BRAFA (Brussels Antiques & Fine Arts Fair) est toujours aussi convoitée par les galeries et antiquaires européens pour son éclectisme, sa convivialité et le dynamisme de ses collectionneurs belges, attirant également nombre de Parisiens venus par le Thalys.
