Le Quotidien de l'Art

Le festival d’Angkor, un modèle alternatif

Le festival d’Angkor, un modèle alternatif
Vue de l’exposition «Dalit : a quest for dignity. Nepal culture library» dans le cadre du festival d’Angkor.
Photo Tabibito Yoshi/Angkor Photo.

À Siem Reap, point de départ pour la visite des temples d’Angkor, chacun est muni d’un appareil photo. Une poignée de ces preneurs d’images, cependant, a parcouru des kilomètres, venant des quatre coins d’Asie, afin de participer aux workshops du festival d’Angkor et de se confronter autant aux photographes professionnels qu’à leurs contemporains. 

300 photographes, 30 pays

Les attractions touristiques sont vite remises à un autre voyage. Dès le deuxième jour, les « étudiants » sélectionnés sur portfolio sont déstabilisés, poussés dans leurs réflexions et, pour certains, déjà épuisés. Si chacun espère, après dix jours intenses, repartir avec une idée affinée de son projet personnel, tous se sont déplacés pour rencontrer ceux qui font et feront la photographie asiatique de demain. Le festival peut se targuer d’avoir rassemblé sur l’ensemble de ces années plus de 300 photographes venant de 30 pays. Parmi les alumni, citons Maika Elan qui, après son passage à Angkor en 2010, s’investit intégralement dans la forme documentaire ; elle atteint une reconnaissance…

Le festival d’Angkor, un modèle alternatif
Le festival d’Angkor, un modèle alternatif

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Article issu de l'édition N°1629