Le Quotidien de l'Art

Comment les foires d’art ancien se repositionnent

Comment les foires d’art ancien se repositionnent
Le salon Fine Arts Paris 2018 au Carrousel du Louvre. © Tanguy de Montesson.

Alors que la Biennale Paris s’essouffle, quelles stratégies adoptent les foires qui fleurissent actuellement dans le secteur de l’art ancien ? Petit tour d’horizon, à l'occasion de la deuxième édition de Fine Arts Paris qui a ouvert ses portes mercredi.

Paris Tableau, Fine Arts Paris, Frieze Masters, Tefaf… Les foires d’art ancien se suivent sans vraiment se ressembler. Et pour cause, si toutes visent le même type de clientèle amatrice d’« art ancien », elles cherchent également à imprimer leur identité propre, qui va souvent de pair avec l’emplacement de l’événement : « Nous avons constaté qu’il y avait un manque à Paris, que la Biennale ne remplissait pas vraiment son rôle, précise Gabriel Terrades, fondateur en 1986 d’une galerie à son nom et membre fondateur du Salon du dessin. Il y avait donc une place libre pour un marché sérieux qui permettrait à Paris de remplir son rôle de capitale de l’art ancien ». La capitale française attire en effet de plus en plus, surfant sur les doutes causés par le Brexit dans l’esprit des galeristes et collectionneurs. En outre, fait assez rare dans le reste du monde,…

Comment les foires d’art ancien se repositionnent
Comment les foires d’art ancien se repositionnent

Les abonnés ont accès à l'intégralité des articles du Quotidien de l'Art.

Découvrez toutes nos offres d'abonnements.

Je m'abonne

À lire aussi


Frieze Londres, 20 ans, offre timide mais bonnes ventes
Article abonné

Loop, rendez-vous des passionnés de vidéo
Article abonné

Édition N°2936 / 20 novembre 2024

20 millions $

L'investissement potentiel des Émirats dans Art Basel

Par Muriel Rozelier

Article issu de l'édition N°1602