Le Quotidien de l'Art

Pourquoi la « Rome française » a été recalée par l’Unesco

Pourquoi la « Rome française » a été recalée par l’Unesco
Musée de la romanité et les arênes de Nîmes. Photo : Isabelle Lecaux/Ville de Nîmes.

A l’issue de la 42e session du Comité du patrimoine mondial, les édiles nîmois sont tombés de haut. Alors qu’ils venaient d’inaugurer le musée de la Romanité, l’inscription au patrimoine mondial de la cité antique semblait acquise. Mais le dossier a été bloqué...

Une fois de plus, l’Unesco n’a pas lésiné sur les nouvelles inscriptions. Pendant la session qui s’est tenue à Bahreïn du 24 juin au 4 juillet, elles ont été au nombre de 19, couvrant la planète entière de l’Aasivissuit-Nipisat, terres de chasse inuites au Danemark, à la cité ancienne de Qalhât au sultanat d’Oman, des sites chrétiens nippons cachés près de Nagasaki à l’oasis saoudienne d’Al-Ahsa, de la ville califale espagnole de Medina Azahara au Göbekli Tepe en Turquie, sans omettre la vallée de Tehuacán-Cuicatlán en Méso-Amérique ou les monastères bouddhistes de montagne en Corée. L’Allemagne crie également victoire avec la distinction de la cathédrale de Naumburg et de l’ensemble…

Pourquoi la « Rome française » a été recalée par l’Unesco
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