Musées et marché se prêtent au petit jeu du mea culpa, après avoir assumé des décennies d’injustices. Après le temps des femmes, qui a permis d’ouvrir les yeux sur Georgia O’Keeffe ou Valie Export, vient celui des artistes africains-américains, et par ricochet des créateurs noirs, quelle qu’en soit l’origine. Sur Art Unlimited, à Bâle la blanche, le « black power » conceptuel…