Vous venez d’obtenir le 31 mai le prix de la Fondation Simone et Cino Del Duca. Pour vous qui en avez déjà reçu tant, que représente-t-il ?
Il me touche car au fond, il a été créé par un Italien, une personnalité de la culture qui a dû s’expatrier pour survivre. Les circonstances sont différentes mais c’est toujours le cas, aujourd’hui, pour de nombreux jeunes Italiens, qui doivent partir pour travailler. Et je considère la France comme ma seconde patrie. J’y ai eu plus…