Comment expliquez-vous les bons résultats de 2017 ?
L’année est très positive sur tous les fronts. Cela s’explique d’abord par un grand retour de l’offre. Aussi, nos investissements en technologie ont commencé à payer. Nos bénéfices ont crû de 60 %, pas seulement par le biais de l’augmentation des frais acheteurs (annoncée en septembre 2017, ndlr) mais aussi par le soin attentif porté aux coûts et l’augmentation du pourcentage de lots vendus, en hausse de 2 %.
Le produit de vos ventes privées a augmenté de 28 % en 2017. Pourquoi vous est-il plus facile de progresser dans ce domaine plutôt que dans celui des enchères ?
L’augmentation est spectaculaire en effet. La vente privée est devenue une activité spécifique depuis quelques années, notamment avec l’acquisition d’Art Agency Partners, et plus récemment la nomination de David Schrader comme directeur des ventes privées, et le développement de notre programme S|2 à Londres.
Votre politique de suppression des frais acheteurs sur les ventes online only lancée en septembre porte-t-elle ses fruits ?
Il est trop tôt pour le dire. Le nombre de ventes online only est passé de 18 en 2016…