Sur la foire turinoise Artissima, qui a fermé ses portes hier dimanche au soir, une partie des galeries se réjouissaient plus, lors de notre passage, de la qualité des échanges intellectuels que de leurs équivalents commerciaux. Comme l’explique Thomas Bernard, directeur de la galerie parisienne éponyme, la qualité première d’Artissima, « c’est le temps d’échanger et de construire, loin des speed dating d’autres foires favorisant le spectaculaire ».
Le galeriste consacre sur la foire un solo show à Vittorio Santoro. Pour Mélanie Meffrer Rondeau (galerie Untilthen, Paris), même constat :
« le démarrage a été lent, les gens sont curieux, repassent…