Le Quotidien de l'Art

À Beyrouth, les fantômes de la guerre

À Beyrouth, les fantômes de la guerre
Musée national de Beyrouth, 2004.
© Dimsfikas.

Au musée national de Beyrouth, une grande mosaïque byzantine attire immédiatement l’œil. Il s’agit d’une représentation du « Bon Pasteur » au milieu des animaux de la Création, qui date du Ve siècle ap. J.-C. et symbolise la bienveillance. En bas à gauche de cette mosaïque scellée au mur extérieur du bâtiment, apparaît une brèche importante : alors que le musée se trouvait, pendant la guerre civile libanaise, sur la ligne de démarcation, les francs-tireurs l’utilisaient comme une meurtrière pour ajuster leurs tirs. « Il a été décidé de la conserver telle quelle, en mémoire de la guerre »,…

À Beyrouth, les fantômes de la guerre
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Article issu de l'édition N°1369