Artiste conceptuel, l’Allemand Gregor Hildebrandt transforme n’importe quelle relique de la technologie du son, comme les VHS, les cassettes audio et les disques vinyles, en sculptures, peintures, photographies ou installations. Une façon pour l’artiste d’exprimer sa connaissance de la pop culture et sa nostalgie liée aux enregistrements perdus. Il associe ici des boîtes de cassettes audio à l’image d’Harriet Bosse qui fut la 3e épouse de l’écrivain, dramaturge et peintre suédois August Strindberg. Ses œuvres figurent aussi bien dans les grandes institutions publiques, tel le Centre Pompidou, que dans de prestigieuses collections privées comme celle des Rubell aux États-Unis.
Gregor Hildebrandt, To Damascus (Harriet Bosse), 2017, impression jet d’encre, boîtes en plastique dans un casier en bois, 160 x 111,5 cm. Galerie Perrotin, Paris, New York, Hong Kong, Séoul, Tokyo. Prix : 30 000 euros.
L’artiste thaïlandais a fait du jean, symbole de l’importation de la culture occidentale et objet culte porté par toute une jeunesse thaïlandaise, son matériau de prédilection. Dans sa…