Sotheby’s, rue du Faubourg Saint-Honoré à Paris, et Binoche et Giquello, à Drouot, proposaient la semaine dernière chacune une vente dévolue aux arts africain et océanien. Christie’s, qui avait changé son calendrier, et organisé sa vente en avril (lire Le Quotidien de l’Art du 3 avril), ne s’était par conséquent pas jointe à eux. « La salle était bien plus clairsemée que d’habitude chez Sotheby’s. Que Christie’s ait décalé sa vente a dilué le nombre de collectionneurs étrangers ayant fait le déplacement », relève un habitué. Plus qu’à la chaleur – la salle était climatisée –, il faut sans doute attribuer ce phénomène à l’absence de vente avenue…
Résultats solides pour l’art tribal à Paris
Lors des ventes d’art tribal à Paris la semaine dernière, la maison Binoche et Giquello a su tirer son épingle du jeu face à Sotheby’s, en l’absence de blockbusters chez cette dernière.