Le Quotidien de l'Art

Disparition de l’artiste James Rosenquist

Disparition de l’artiste James Rosenquist
James Rosenquist, Energy crisis, 1979, huile sur toile, 116,8 x 116,8 cm. Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac, Paris/Salzburg. © James Rosenquist / VAGA, New York / ADAGP, Paris.

C’était le dernier des titans vivants du pop art, le compagnon de route d’Andy Warhol et de Roy Lichtenstein. L’artiste américain James Rosenquist a tiré sa révérence le 31 mars à l’âge de 83 ans, à New York.

Né en 1933 dans le Dakota du Sud, James Rosenquist étudie l’art entre 1952 et 1954 à Minneapolis, tout en gagnant sa vie comme peintre d’enseigne, avant de débarquer à New York avec 350 dollars en poche. Très vite, il se lie avec les artistes et poètes de Greenwich Village. Rosenquist est un peintre abstrait, comme il y en a alors à la pelle. Mais en se frottant au milieu new-yorkais, en découvrant le travail de Robert Rauschenberg et Jasper Johns, il change son style du tout au tout en tirant le réel dans ses toiles.

Comm…

Disparition de l’artiste James Rosenquist
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Article issu de l'édition N°1262