Le Quotidien de l'Art

À ARCOmadrid, le marché espagnol reprend des couleurs

À ARCOmadrid, le marché espagnol reprend des couleurs
Louise Bourgeois, La Maladie de l’amour (#2), 2008, gravure, aquarelle, crayon, tissu et cable sur papier. Courtesy Hauser & Wirth (Zürich, Londres, Somerset, New York, Los Angeles).

La Foire ARCOmadrid, qui a fermé ses portes hier soir, se focalisait cette année sur l’Argentine. Cette édition a été marquée par un regain du commerce, dans une foire où les affaires sont traditionnellement lentes.

Elle s’intitule La Maladie de l’amour, et il s’agissait certainement de l’une des plus belles pièces de l’édition 2017 de la foire ARCOmadrid. Cette œuvre puissante de Louise Bourgeois faisait partie d’un accrochage consacré aux artistes femmes – réunissant notamment Roni Horn, Lee Lozano ou Monika Sosnowska – proposé par la Galerie Hauser & Wirth (Zürich, Londres, Somerset, New York, Los Angeles) pour sa première participation à la foire (en dehors de l’année où la Suisse était l’invitée d’honneur). Ce stand thématique, de dimension réduite, volontairement low profile et ne jouant pas sur des pièces gigantesques des stars du marché, s’inscrivait pleinement dans l’esprit du salon madrilène. « Ils ont fait quelque chose de différent, et c’est ce que nous apprécions, nous a déclaré Carlos Urroz, directeur…

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Article issu de l'édition N°1237