En 1997, Fabrice Hyber, alors choisi pour représenter la France à la Biennale de Venise, avait transformé le pavillon hexagonal en gigantesque unité de production d’images télévisuelles avec des plateaux en direct. Toute une chaîne de fabrication d’images était ainsi livrée au visiteur. L’artiste Xavier Veilhan, qui représentera cette année l’Hexagone, a pris un parti pris similaire avec son Studio Venezia. Sauf qu’il a choisi de se concentrer sur la musique, en installant dans le bâtiment un studio d’enregistrement. Après les pavillons d’Anri Sala en 2013 et Céleste Boursier-Mougenot en 2015, le son sera donc pour la troisième fois au cœur de la représentation hexagonale.
Entre la musique et…